วันศุกร์ที่ 21 กันยายน พ.ศ. 2550

จาสอบแล้วน้า


นี่ก็ใกล้วันสอบมากๆแล้วนะ ทุกคนเป็นไงบ้างเตรียมพร้อมกันรึยัง อ่านหนังสือไปถึงไหนกันแล้ว
เราเป็นกำลังใจให้ทุกคนนะ ตั้งใจอ่านหนังสือล่ะ

วันเสาร์ที่ 15 กันยายน พ.ศ. 2550

วันเสาร์ที่ 8 กันยายน พ.ศ. 2550

รูบสวยๆ

Les histoires les histoires




L’association nationale du porc britannique a proposé Winnie, une jolie cochonne rose et séduisante, comme candidate à la mairie de Londres. Hélas, cette candidature n’a pas été acceptée. Dommage car Winnie avait pour devise « cochon qui s’en dédit ». Devise que nos hommes politiques ne feraient pas mal de mettre à leur répertoire. Et surtout à s’y tenir.

Le 21 juin 1791, le roi Louis XVI, la reine Marie-Antoinette, leurs enfants et leur suite quitte Paris secrètement. Ils fuient la révolution. Le cortège s’arrête à Sainte-Menehould, dans une auberge. L’Histoire prétend que c’était pour changer les chevaux. La petite histoire prétend qu’en fait le roi ayant faim s’est arrêté pour manger le fameux pied de porc, spécialité culinaire de la ville. Comme quoi la gourmandise est un vilain défaut qui peut parfois vous faire perdre la tête !

Dans son « florilège des mots de l’amour » paru aux éditions Plon, Robert Merle indique à l’expression âge cochon : il s’agit pour les Mauriciens, nous explique Loïc Depecker ( le ziboulateur enchanté – Seuil 1999), de désigner ici l’âge ingrat, autrement dit celui de la puberté. Peut-être après tout n’ont-ils pas, là-bas, de vieux cochons…

Toujours dans le même ouvrage, le mot cochonnerie est expliqué ainsi : attesté à la fin du XVIIe siècle dans le sens de pacotille, chose sale ou mal fichue, le mot ne tarde pas à désigner aussi les paroles et actes réputés obscènes. « Il a pour singularité dans les goûts d’aimer et la vieillesse et tout ce qui lui ressemble pour la cochonnerie » (Sade les 120 journées de Sodome ou l’école du libertinage – 1785). Plus tard viendront les cochoncetés.

วันเสาร์ที่ 1 กันยายน พ.ศ. 2550

ควันหลงกีฬาสี ' 50


La Garonne

La Garonne s'appelle en gascon montgnard era Garona /eɾa garunɵ/, un nom commun signifiant la rivière.

On l'écrivait Garumna du temps de Jules César, un nom qui s'analyse par le radical garr- 'pierre' et le suffixe -unn / -onna. Sa signification serait 'rivière caillouteuse', 'torrent'.

La Garonne se forme au Val d'Aran dans les Pyrénées espagnoles.

D'après Norbert Casteret, sa source principale se trouve dans le massif de la Maladeta, en Aragon, où elle s'engouffre au Trou de Tòro pour rejoindre sa vallée par une résurgence aux Uelhs de Joeu. Pour les Aranais, la véritable source, l'Uelh dera Garona, se situe au Plã de Béret à proximité du port de la Bonaïgua. Cette branche serait en effet plus longue que le cours officiel et son débit plus important.

Le fleuve se dirige au nord, rentre en France au Pont du Roy à Fos, reçoit la Pique descendue des massifs de Luchon. Il quitte les Pyrénées après avoir arrosé le site antique de Saint-Bertrand-de-Comminges, puis il reçoit la Neste change de direction pour se diriger vers le nord-est en une large vallée (plaine de rivière), il arrose Saint-Gaudens franchit les Petites Pyrénées entre Saint-Martory et Martres-Tolosane, reçoit le Salat descendu de Saint-Girons.

La vallée très large s'étage en terrasses sur la rive gauche. Le fleuve traverse Muret, reçoit l'Ariège à Portet sur Garonne pour atteindre Toulouse où il change de direction en se dirigeant au nord ouest pour se jeter dans l'Atlantique à son embouchure en commun avec la Dordogne où ils forment l'estuaire de la Gironde.

Entre Toulouse et Bordeaux le fleuve traverse Agen et reçoit ses principaux affluents sur la rive droite, le Tarn et le Lot issus du système hydrologique du Massif central.

Le fleuve est navigable de l'océan à Langon. Un canal latéral a été construit au XIXe siècle pour joindre Langon (Castets-en-Dorthe) à Toulouse (liaison avec le Canal du Midi de Toulouse à Sète).

Des Pyrénées à Toulouse le fleuve est aménagé pour l'industrie hydroélectrique. Plus récemment deux centrales nucléaires sont implantées sur les rives, au Blayais (33) et à Golfech (82).

A Bordeaux le fleuve est très large et sous l'influence des marées. A marée haute se forme un mascaret qui remonte le fleuve